
Pin des landes, feuilles d’or, 1m50, Série « Echec », 2022
Pin des landes, feuilles d’or, 1m50, Série « Echec », 2022
Elektra, 5x4m, Acrylique, encre, or, 2020 Commande du Théâtre du Capitole, Toulouse, Maquette pour les décors de l’opéra « Elektra » de Strauss, donné en juin 2021Metteur en scène, Michel Fau ; Direction musicale, Frank Beerman ; Costumes, Christian Lacroix Photographie (droite) de ©Mirco Magliocca
Agamemnon,Sculpture en bois, 230x75x60 cm, 2020Commande du Théâtre du Capitole, Toulouse, Réalisation des maquettes (peinture et sculpture) pour les décors de l’opéra « Elektra » de Strauss, donné en juin 2021Metteur en scène, Michel Fau ; Direction musicale, Frank Beerman ; Costumes, Christian Lacroix
Reine blanche,Tilleul, 60x50x50 cm, 2020
Gouache, encre et or sur toile, 2016. 89×116 cm Parfois le modèle et l’artiste se superposent. L’un offre et l’autre s’accroche. Le transfert est infime et la main exécute. Jusqu’à ce que l’œil remarque le glissement. Et de peinture d’un autre, nous glissons vers l’intime.
Argile, marbre, dorure, 55x 45×30 cm, 2018
Sculpture bois, sequoia géant, 60x50x45 cm, 2015 Collection privée
Sculpture tilleul réalisée pendant la résidence du château Brumont – septembre 2018 250x250x200 cm
Sculpture bois, bouleau, 2012.Haut: 1m92 Collection particulière.
Encre, gesso et cuivre, 2018. 100×100 cm Disponible,
Encre, gesso et cuivre sur toile, 120×120 cm, 2018
Encre, gesso et cuivre, 2018. 120×120 cm Collection privée
Encre, gesso et cuivre, 2018. 100×100 cm Disponible, Bāsĭāre – Mot latin- le baiser donné aux personnes respectées, tel que le père
Technique mixte, gesso, encre, tempera et feuille de cuivre, 2017. 70×140 cm Collection particulière – Vendu « J’écoute le chant de l’oiseau non pour sa voix, mais pour le silence qui suit. » Noguchi Yonejiro
Argile et émail (blanc et bleu de sèvre), 2013 35 cm Collection privée
Peinture sur toile, encre, gesso, dorure avec la feuille (cuivre), 2017. 100×100 cm, Sélectionnée au concours « Never give up« , Grand Prix Bernard Magrez, Institut Culturel Bernard Magrez, Bordeaux, juillet-octobre 2017
Sculpture, chêne (tonneau de vin) et résine polyester, 2015. 45 cm Non disponible
Gouache, encre et or sur toile, tryptique, 2017. 214×130 cm Construire, créer ensemble. Diane et Vapeurs se croisent. Les mêmes émotions qui ont pris des chemins parallèles. L’une sur toile, l’autre sculpturale. Disponible
Gouache sur toile, dorure àla feuille d’or et cuivre, 2016. 160×120 cm oeuvre vendue. Collection particulière “Papa, il y a une femme toute nue”, Galerie des nouveaux talents, Château Pape Clément, Pessac – sept-nov 2016. Avant ou après. Depuis le bain. Elle attend, sechant sur sa peau les larmes d’eau.
Sculpture bois, cèdre, Juin 2016. Hauteur 1m. « Instants de femmes », Sorti 13, Pessac – jan-mars 2016 « La part du Rêve », Château de Villandraut – juil-sept 2016 Disponible Euryale est le présent. De cette figure noble, douce, vient l’espérance. De l’avenir et du passé se réunissant pour faire l’Instant. Une épaule
Gouache sur toile, or, 2016. 160×120 cm “Papa, il y a une femme toute nue”, Galerie des nouveaux talents, Château Pape Clément, Pessac – sept-nov 2016. « Instants de femmes », Sorti 13- janvier-mars 2017. Judith est une reine, une princesse, une marchande. Elle est celle qui séduit et gagne. Holopherne ne
Wooden sculpture of a man, ready to move. After life model.
Gouache sur toile, 2015. 81×100 cm.
Sculpture bois, bouleau et résine polyester, 2013 – 2016.Dim : 85x65x50 cm. Oeuvre extérieur. Disponible
Sculpture bois, Pin des landes, Décembre 2014. Hauteur totale 2m40 ; hauteur sculpture : 1m50. « L’art et le Sacré » – Exposition Gravelor, dec 14, Bordeaux. Salon Art di’Vin 2015, Bordeaux. Disponible Les Trois Jours questionne notre représentation de Jésus. De notre rapport au divin, à la religion. Retournement de la tradition statuaire. C’est
Les portes de l’ascenseur se referment et je monte en apesanteur. Bordel, je tombe. Mes sens s’affolent. Bouffé d’oxygène, mon cerveau s’éteint. La seconde s’éternise. Explosion vitale. Second Boom de mon cœur. Troisième mouvement. Je réponds. Les couleurs reviennent, chatoient. S’illuminent puissamment. Et les mots sortent. Naturellement. Ça colle. L’entente
Ils sont là, las, autour de moi Bousculant gesticulant, singent De leurs gestes cette impression de vie. Je grince des dents. Devant moi, le poète est posé. Ses mots s’introduisent dans Mon subconscient, indolent. Sa souffrance n’est pas mienne. Ils sont las, enveloppés de cette odeur de café Et pourtant,
Je suis tombé amoureux. Le temps d’un regard. Le temps d’une rencontre. C’était le but. L’expérience. Fragile humaine. Performance. Que ne ferais-je pour mon émotion, mon âme. Vivre l’émotion. Le vivre. La vivre. Avec force. Avec une inconnue. J’ai vu, sur l’une de mes pages, vu une accroche. Une proposition.
Vingt minutes. C’est juste le temps que j’ai. Vingt minutes pour sortir mon lettrage. De là où je suis, de ma table, je peux les voir danser. Remue incestueux de rythmes incandescents. Ils vivent. Criant leurs malaises de vivre. Et s’éclatent. Chant rythmique. Sourire mystérieux. Les corps se frottent et
L’acte d’écrire. De poser des mots sur le papier. J’ai deux pensées pour ce soir. Enfin une pensée et une lettre ouverte. Je ne sais par laquelle commencer. L’émotionnelle ou l’intellectuelle. L’intellectuel ou l’émotionnel. Remarquez, en un sens, j’ai déjà choisi. C’est une question qui me revient souvent. Je ne
Cela fait deux jours. De fait, deux nuits. Moins de quarante-huit heures depuis cette décharge de haine pure. Violence adrénalinique. Moi qui me croyais enfin absous. D’avoir pu tourner la page. Et laissé couler la rivière. Coup de tonnerre dans le ciel bleu. Autopsie en cours. J’entrevois ce que je
Entre deux articles de Sud-Ouest, entre Charlie et Daesh, une toute petite question existentialiste est apparue sur le plateau. Question impertinente et poétique. Lancée par provocation au cours d’une discussion. Mais qu’est-ce qui fait que l’on est artiste ? Sérieusement, vous ne vous l’êtes jamais demandé ? Jamais dit. Après un repas
« Papa, papa, il y a une femme toute nue ! » La nuit des musées vient de se terminer, je me trouvais au musée des Beaux-arts de Bordeaux, m’éloignant de Rolla (Gervex, 1878). Charmante peinture, émoustillant les sens, douce et tendre dans son traitement, provocateur dans son sujet, cruelle pour son histoire.
Depuis le début et jusqu’à la fin des temps, les artistes étaient, sont et seront des réceptacles. Nous catalysons les sentiments, les émotions, préparons les sensations. Invoquons les réactions. Physique. Psychique. Au travers de notre art, nous induisons un comportement chez l’Autre. Attrait. Rejets. Amour. Haine. Érotisme et dégout. Courage
Je suis ici et là, paradis fouettant d’innombrables rivages entre ciel et terre, troisième élément, enivrant éther. Toujours sur mes plages se promènent badauds, je suis las. Partout abordée, et jamais caressée ni même protégée Cascade, grise de couleur, J’hypnotise ces abandonnés Aube chatoyante, lumières reflétées. Étendues, ici et là,
Loin d’expulser ma rage et ma colère dans ce billet, de chasser la sorcière et de bannir l’art contemporain, je cherche à réfléchir et clarifier ma pensée. Bien qu’un peu de provocation peut transparaître de temps à autre. Je lisais dernièrement une réflexion portée par un galeriste d’internet. Outre le
J’ai mis un mois à l’accoucher. Suite à ce genre de réflexions. Je suis virulent, je l’assume. Et comme mon ami blogépistolaire, Vai, le prétend, peut être bien qu’un artiste s’est égocentrique. Bonne lecture. Tu sais, c’est de l’Art… Qui n’a jamais entendu ou prononcé cette phrase, grand classique du
Je regarde le tableau, non pour sa beauté, mais pour la sérénité qui s’en suit. Sérénité. Beauté. Étrange que l’on ne veuille point s’extasier sur sa beauté. Sur la maîtrise colorofique, graphique, technique. Parce que quoi, qu’est ce qu’un tableau. Rien qu’une image qu’un inconnu à conçu, peinturluré de ces